CHÚ THÍCH

[1] J’ose même ajouter que telle fut la pensée de tous les anciens Hébreux...

(Spinoza. Lettre 73)

[2] Xin xem Gabriel Trarieux d’Egmont, Le Thyrse et la Croix, Adyar, Paris, 1947, trang 159^.

Kéther được coi là tương đương với Le Logos (Plato), the Word of St John. Còn gọi là Mặt Trời thiêng liêng nơi trung điểm (Spirituel Central Sun) (Ib. 159, note 3.)

[3] Xem chú 1

[4] L’ère messianique, espérance juive, devient ainsi une espérance métaphysique : par elle toute chose rentrera dans sa racine, comme elle en est sortie. (Ib. 227)

[5] Un jour, le Saint dépouillera ses écorces et ne réapparaitra que sous l’aspect d’un noyau substantiel. (Ib. 273)

Xin tham khảo thêm:

a/-Ad. Franck, La Kabbale ou Philosophie religieuse des Hébreux Paris, Librairie de L. Hachette, 1843.

b/-Gabriel Trarieux d’Egmont, Le Thyrse et la Croix, Adyar, Paris, 1974.

⁶ En d’autres termes, si l’on déclare que l’univers est Dieu, ou que Dieu est l’univers, on dit la même chose. Cette totalité qui se manifeste dans l’unité suprême de Dieu, est hors de doute dans les expressions nuancées et symboliques du Zohar, dont nous venons de citer quelques exemples frappants. Le Ein-Sof n’est autre chose que cette totalité, cette unité suprême, qui embrasse les dix Sephiroths. Le Ein-Sof, dit en effet le Zohar, est revêtu et enveloppé des Séphiroths comme le charbon de la flamme. Ailleurs après avoir rapporté le rayonnement de la lumière primordiale en dix lumières, il ajoute: Nonobstant, tout est un. (Henri Sérouya, La Kabbale, p. 226)

[6] En d’autres termes, si l’on déclare que l’univers est Dieu, ou que Dieu est l’univers, on dit la même chose. Cette totalité qui se manifeste dans l’unité suprême de Dieu, est hors de doute dans les expressions nuancées et symboliques du Zohar, dont nous venons de citer quelques exemples frappants. Le Ein-Sof n’est autre chose que cette totalité, cette unité suprême, qui embrasse les dix Sephiroths. Le Ein-Sof, dit en effet le Zohar, est revêtu et enveloppé des Séphiroths comme le charbon de la flamme. Ailleurs après avoir rapporté le rayonnement de la lumière primordiale en dix lumières, il ajoute: Nonobstant, tout est un. (Henri Sérouya, La Kabbale, p. 226)

[7] La création de l’univers est un fait de pure émanation^. L’univers dans la multiplicité de ses élements est inhérent à l’õessence de l’Ein-Sof, précisément comme la potentialité de la flamme procède du charbon.

Ib. 159

...Dieu, dans son Commentaire (c’est à dire de Saadya) du Sépher Yessira, est dans l’univers ce que la vie est dans l’être vivant. Il est à la fois dans chaque partie et dans chaque tout. Autrement dit, il est partout. Ib. 139

[8] Ce qui est en haut est en bas^. Chaque homme est l’expression mimuscule de son Prototype céleste, du vaste Adam Kadmon, l’Univers...

...Car c’est en regardant en lui-même que l’homme finit par commprendre le grandiose et indéchiffrable spectacle quõil contemple en ouvrant les yeux: la terre, les montagnes, la mer, ou les feux de la nuit étoilée. Il finit par se rendre compte que tous ces éléments sont en lui, qu’il est, en abrégé, l’õunivers, et l’être impensable et unique, seule Réalité éternelle, de qui cet Univers émana, dans laquelle il sera résorbé, habite en son sein, Lui aussi, est l’Hôte de sa chair périssable. Le Thyrse et la Croix, p. 161.

Để chứng minh rằng Tuyệt đối ở ngay trong con người, đoạn trên có chú thích như sau : Ce que le Bouddha s’exprima en ces termes : En vous est le non-né, non-causé, non-crée, non-forméï C’est la base de toute sa doctrine. (La Parole du Bouddha par Nyanatiloka, traduction La Fuente). C’est aussi de l’idéalisme absolu de Fichte, de Schelling, et Hégel.

[9] Le nombre 1 que est le principe de tous les nombres, nõest pas lui-même un nombre. C’est le nombre 2, qui est véritablement le premier nombre.

...Sérouya chú thêm như sau :

Pour le pythagoricisme aussi le nombre positif ne commence qu’à partir de 2... Le nombre 1 qui contient les deux éléments des nombres, l’impair et le pair, est à la base de tous les nombres, il en est la racine, mais lui-même n’est pas un nombre, car tout nombre implique une pluralité d’unités. (Cf. Aristote, Métaphysique, I, cha.V...) Anaximène dit que Dieu est l’Un, non en tant que commencement des nombres, qui est susceptible de devenir multiple. De même que Plotin admet que le premier, appelé Un, est sans multiple sans rien d’identique au dehors et sans différenciation en soi. La même idée se trouve chez Bahya dans sa considération théologique de l’unité véritable; puis chez Ibn Zadik et comme nous avons déjà vu précedemment chez Ibn Gabriel dans sa Couronne Royale: Tu est Un, mais non l’un tombant dans la loi des nombres. L’idée passera ainsi dans la Kabbale...(Sérouya, La Kabbale, p. 152 và chú thích 3.)

[10] Đọc đầu chú thích 1 ở trên^.

[11] Mais 10 est aussi le nombre des catégories, dont neuf accidents et une substance. (Ib. 153)

[12] Xem 3.

[13] La décade renferme en elle toutes les unités simples^. Pour illustrer le Yod (10 è lettre), Ibn Era tire sa racine de todath qui signifie selon lui choeur, union, harmonie. Car dix (la tetras pythagoricienne) est la somme des quatre premiers nombres.

Henri Sérouya, La Kabbale, p. 153.

[14] Xem Henri Séroya, La Kabbale, p^. 130.

[15] Le Yod, première lettre du tétragramme représente la substance avant toute différenciation..

Le Hé, composé de deux parties distinctes, indique les deux contraires, essence et forme, substance et accident..

Le Vau qui a la valeur mathématique 2 x 6 : 12 est la 6è lettre de l’alphabet hébraique. En ce sens, le tétragramme Yod, Hé, Vau, (Hé) est composé de trois lettres différentes, qui marquent les trois dimensions des corps: la longeur, la largeur, la hauteur ou la profondeur. Le Vau avec sa valeur numérique six, marque les six forces des corps que nous recontrons dans le Sefer Yessira. (Ib. 152)

[16] En ce qui concerne le symbolisme, Ibn Erza considère le cercle comme l’emblème de la nature, qui revient sans cesse sur elle-même. Elle rattache ses commencements à ses fins et enveloppe en son sein par une suite infinie de figures finies. (Ib. 152)